CERVEAU : Un réseau de structures cérébrales caractérisant l’état de conscience chez l’humain :

 

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Les bases biologiques de l’état de conscience chez l’humain sont largement étudiées au sein de la communauté neuroscientifique, notamment la question de ce qu’il se passe dans le cerveau au moment où l’on perd connaissance. Une équipe de l’Université de Turku (Finlande) s’est penchée sur le sujet en étudiant l’activité cérébrale à l’endormissement naturel et sous anesthésie, deux conditions qui s’avèrent être étonnamment similaires. Leurs résultats, publiés dans la revue The Journal of Neuroscience, suggèrent l’existence d’un réseau de structures cérébrales associé à l’état de conscience chez l’humain.

Être ou ne pas être conscient…

Il est généralement considéré qu’il existe deux états opposés : être conscient et être inconscient. L’état de conscience se définit généralement des observations comportementales, à savoir la réponse à des stimuli extérieurs. Par opposition, l’état d’inconscience peut être défini par l’absence de réponses significatives à des stimuli extérieurs.

Toutefois, l'absence de réponse à des stimuli ne signifie pas nécessairement que rien n’est perçu, ou que le cerveau ne génère pas de contenu en interne, par exemple en visualisant des souvenirs : une absence de réaction ne garantit pas un état d’inconscience.

Il faut donc faire la distinction entre un état de conscience “connectée” qui désigne une personne capable de percevoir l’environnement dans lequel elle se trouve et de répondre à des stimuli externes (par exemple un état d’éveil typique), et un état de conscience “déconnectée” où la personne ne témoigne aucun signe de perception de ce qui l’entoure mais est capable de percevoir du contenu subjectif, généré en interne par le cerveau. L’état d’inconscience se rapporte donc à l’absence de perception des stimuli externes et également d’expériences subjectives internes.

Un design expérimental unique

Comme l’indique Harry Scheinin, directeur de recherche sur les mécanismes de l’anesthésie à l’université finlandaise et co-auteur principal de l’étude, “un défi majeur a été de concevoir un dispositif expérimental où les données cérébrales récupérées dans les différents états ne diffèrent que sur le plan de l’état de conscience.” La comparaison de données cérébrales entre des états qui diffèrent sur plusieurs plans en plus de l’état de conscience est une erreur souvent commise dans les études portant sur le sujet : impossible de savoir si les changements observés sont dus à la conscience ou la perte de conscience, ou bien à complètement autre chose.

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