Neurosciences : Comment être moins dur(e) envers soi ?

Il nous arrive à tous et toutes d'être parfois trop dur(e)s avec nous-mêmes. Perfectionnisme, besoin d'aller toujours plus loin, jugement de soi-même ou objectifs irréalistes : si ces comportements peuvent nous porter dans certaines situations, ils peuvent aussi faire peser sur nous une charge émotionnelle forte.

Peut-être faites-vous partie des personnes perfectionnistes, peut-être êtes-vous juste une personne qui se met un peu trop la pression sans raison. Il peut, à tou(te)s, nous arriver d'être dur(e)s envers nous-même. Parfois, nous nous mettons des objectifs que nous savons irréalistes et nous fustigeons de ne pas y arriver. Parfois, nous culpabilisons quand nous voyons les réussites des autres et nous focalisons sur nos échecs.

Et si nous étions plus tendres envers nous-mêmes ?

Il nous arrive à tous et à toutes de ressentir une sensation d'impuissance, de frustration en étant bloqué(e) dans une situation, face à une décision, ou parce que nos capacités ne nous permettent pas d'aller plus loin. Et souvent, ce que nous faisons, c'est penser que nous ne sommes pas assez compétent(e)s, que c'est de notre faute si tout ne va pas comme on le voudrait. Bref : on se culpabilise.

Et se culpabiliser, penser qu'on est nul(le) et qu'on n'arrivera jamais à rien est mauvais pour nous. En agissant ainsi, on s'enferme dans un cercle vicieux, et on se place dans un climat de culpabilisation et d'anxiété constant.

Peut-être que c'est quelque chose que vous faites par habitude, sans vous en rendre compte. On vous propose un petit exercice : tout ce que vous vous dites, essayez de faire comme si une tierce personne vous le disait ou que vous le disiez à quelqu'un d'autre. Vous rendez-vous compte à quel point on peut être dur(e) et méchant(e) envers soi-même ? N'est-ce pas le moment de commencer à changer en faisant preuve de tendresse envers soi-même ?

Comment être moins dur(e) envers soi-même ?

Pour être moins dur(e) envers vous-même, travaillez sur les qualités suivantes :

La confiance en soi : un manque de confiance en soi conduit souvent à être trop dur(e) envers soi-même, à se mettre beaucoup de pression et à se fixer des objectifs irréalistes. Au contraire, un excès de confiance en soi ne permettra pas de se remettre en question lorsque c'est nécessaire. Essayez de développer votre confiance en vous, tout en gardant un esprit critique et en sachant prendre du recul.

La patience : parfois, nous sommes comme des enfants : nous voulons tout, et tout de suite. Mais travailler la patience nous permet de dépasser la frustration de ne pas y arriver et de comprendre que nous pouvons et devons prendre notre temps. Apprenez à applaudir vos petites avancées, plutôt que de vous maudire de ne pas aller plus vite. La patience, c'est une qualité qui vous permettra de voir sur le long terme pour arriver au bout de votre projet.

La compréhension : ne pas réussir du premier coup ou échouer ne signifie pas que l'on va tout rater. Accrochez-vous, voyez un échec comme une étape naturelle de votre cheminement. On apprend à marcher d'abord en tombant, et ceci continue à l'âge adulte : on ne réussit pas toujours tout du premier coup, c'est normal. Parfois, même le deuxième ou le troisième coup ne sont pas les bons. Essayez d'augmenter votre tolérance à l'échec et tirez des leçons de ce qui n'a pas été en vous posant les questions suivantes : pourquoi ça n'a pas fonctionné ? Qu'est-ce que je peux faire pour que ça marche la prochaine fois ?

L'amour de soi : quand on est trop dur(e) envers soi-même, on a souvent tendance à penser que tout ce qui arrive est de notre faute ou qu'on ne fait jamais assez bien les choses. Arrêtez de vous rabaisser sans arrêt : se remettre en question est une qualité, mais vous ne devez pas vous écraser et penser que vous êtes responsable de tout ce qui va mal (dans vos relations, par exemple). Aimez-vous, n'arrêtez jamais de vous aimer et de remarquer vos qualités.

Être moins dur(e) avec soi-même, c'est se laisser le temps de croître, de faire ce que l'on aime et d'éliminer une grosse dose de culpabilité et d'angoisse. C'est aussi accepter d'aller plus lentement, de s'arrêter pour voir ses progrès plutôt que de se frustrer car rien ne va assez vite. Aimez-vous, et apprenez à être plus tendre avec vous-même pour ne plus souffrir pour des choses qui ne le méritent pas.

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